GENERALITES
A / POURQUOI UNE UNITE DE DISQUETTE 3"?
Depuis que vous utilisez votre ORIC, vous avez ressenti le besoin de conserver des informations (textes, programmes, fichiers etc..) , celles ci étant perdues dés que l'on éteint l'appareil. II est donc nécessaire de transférer les informations entre la mémoire vive (RAM) et le support de stockage. De plus, le tait de disposer d'un support où l'on peut aller chercher les informations rapidement, permet d'utiliser des programmes importants qui seront chargés bloc par bloc au fur et à mesure du déroulement du programme, alors que le programme entier ne pourrait jamais tenir dans la mémoire (évidemment limitée) de l'ordinateur.
Vous avez surement déja utilisé la cassette comme support de stockage, mais c'est un support d'accès très lent et peu souple.
La disquette est un moyen beaucoup plus puissant et plus pratique: -capacité élevée (170 à 212 k octets par face).
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Accès direct aux "blocs" d'informations:
Comme sur un disque 33 tours sur lequel on peut poser la tête de lecture directement sur le sillon où commence le 3ème morceau,
on peut aller chercher directement un fichier sur tel ou tel secteur de telle ou telle piste.
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Simplicité d'utilisation:
Le fonctionnement de la disquette ne nécessite aucune manipulation "mécanique" (appuyer sur les touche STOP, PLAY etc..),
tout étant géré par le Système d'Exploitation du Disque (SED) connu des habitués ou des anglophones sous le nom de DOS (Disk Operating System).
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Performances:
Le SEDORIC est le SED écrit spécialement pour l'ORIC, et qui permet d'obtenir les performances les plus remarquables d'un lecteur de disquettes 3" :
24 kOctets de programmes ou de fichiers chargés en moins de 3 secondes !
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Fiabilité:
L'unité de microdisque ORIC a recu de nombreux perfectionnements "HARD et SOFT" (matériel et logiciel) qui la mettent définitivement à l'abri des "Bugs" rencontrés avec les autres modèles.
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Compacité:
La disquette au standard 3 pouces a été choisie car elle est extrêmement compacte (7 cm ), et qu'elle est entièrement protégée contre les accidents mécaniques:
On peut sans crainte la glisser dans une poche de chemise !
Les seules chose qu'elle craint sont la chaleur intense et les rayonnements magnétiques.
Le lecteur lui-même est compact, élégant et silencieux, Son alimentation secteur alimente également l'ORIC.
Le système d'exploitation SEDORIC fait bien plus que gérer le disque de la façon la plus efficace qui soit.
Il contient également un BASIC étendu qui ajoute plus de 60 instructions au BASIC normal de l'ORIC.
Ces instructions servent à écrire encore plus facilement (NUM, RENUM etc..) des programmes plus performants (USING, WINDOW, BOX...).
L'unité de microdisque ORIC donne ainsi à votre ordinateur une dimension et un niveau de performances bien plus élevés.
Lisez donc soigneusement ce manuel afin de tirer le meilleur parti de tous ces avantages que vous apporte le Disque ORIC.
B / INSTALLATION ET BRANCHEMENT
Avant de commencer,un principe à respecter de façon impérative dès qu'il s'agit de brancher quoi que ce soit sur le bus,
on éteint tout d'abord, et on réfléchit après ! Le fait de brancher un périphérique sur la prise du Bus, l'appareil étant
allumé, revient à enrichir les services après-venté :
c'est la panne assurée de l'unité centrale comme du périphérique.
On répète donc : dès qu'il s'agit de brancher quoi que ce soit sur le bus, on éteint tout d'abord, et on réfléchit après !
Ceci étant dit, et l'appareil étant éteint, voyons comment brancher la configuration:
Le câble plat gris clair qui sort de l'unité de disquette se branche sur la prise du BUS (marquée EXPANSION sur le dessus
du boiter de l'ATMOS). Un petit cran sur la prise (appelé détrompeur) oblige à brancher la prise dans le bon sens.
La longueur du cable étant limitée (pour réduire les risques d'interférence magnétique et électrique), on dispose généralement
le lecteur à côté de (ORIC ou derrière. Sur ce cable se trouve une prise type AMPHENOL 34 broches destinée à recevoir les
extensions (interface joystick ou série..) que l'on branche habituellement sur le BUS. N'enlevez pas le petit capot plastique
qui protège cette prise, le moindre court-circuit sur les broche produit les effets décrits ci-dessus (appelez le SAMU et
direction le service après-vente !).
Derrière l'unité de disquette, on trouve la prise pour brancher l'alimentation, le bouton de RESET, et la prise pour brancher
une deuxième unité de disquettes esclave (sans contrôleur) .
L'alimentation fournie avec l'unité de disquettes est spéciale : elle fournit les tensions d'alimentation pour 2 unités de
disquettes (les deux gros câbles terminés par une prise DIN femelle) et également pour l'ORIC directement par le Bus .
l'alimentation d'origine de l'ORIC n'est donc plus nécessaire. Faites donc tous les branchements (alimentation, moniteur,
unité de disquette, et éventuellement imprimante, magnétocassette etc..), branchez la prise secteur de l'alimentation et
n'allumez l'interrupteur de l'alimentation secteur qu'en dernier lieu .
L'écran vous demande alors "INSERT SYSTEM DISK" : Vous devrez donc insérer votre disquette. S'il s'agit de la disquette
MASTER SEDORIC, l'ordinateur chargera le DOS et vous rendra la main sous BASIC (Curseur et READY) . L'affichage sera en
écriture blanche sur fond noir, mais vous pourrez bien sur changer ces paramètres (PAPER et INK). Le bouton RESET de l'unité
de disquette produisant également un RESET (partiel) de l'ordinateur, vous aurez l'écran "INSERT SYSTEM DISK" chaque fois
que vous appuierez sur ce bouton sans avoir une disquette dans le lecteur.
Le lecteur MASTER (A) a un cable plat qui sort de l'arrière du boitier, et qui va sur l'ORIC. Les lecteurs esclaves sont
livrés avec un cable plat et une prise femelle sur la face arrière, comme l'unité MASTER, mais celle-ci constitue la prise
d'entrée. Le cable plat comporte une prise AMPHENOL à chaque extrémité et une prise mâle sertie sur le cable: Pour brancher
le lecteur B, on relie la prise arrière du lecteur B à la prise arrière du lecteur A . Pour brancher les suivants (C et D),
on relie l'entrée du lecteur suivant à la prise mâle du cable du lecteur précédent. Le schéma ci-dessous est plus explicite
sur ce sujet.
Les alimentations fournies peuvent suffire pour une unité centrale et 2 unités de disquettes. Pour un plus grand nombre de
lecteurs, il faudra une alimentation supplémentaire, suivant le schéma ci-dessous.
C / COMMENT SE PRESENTE LA DISQUETTE 3" ?
Une disquette se présente sous la forme d'une feuille de plastique circulaire, percée d'un trou au centre, et logée dans une pochette plastique destinée à protéger la disquette. La pochette est percée de plusieurs fenêtres destinées à permettre le fonctionnement (rotation, positionnement de la tête d'enregistrement-lecture etc..) sans sortir la disquette de la pochette.
Le standard de disquettes le plus utilisé sur les micro-ordinateurs est le standard 5"1/4 (13 cm). Nous avons retenu pour l'ORIC le nouveau standard de disquettes 3", pour les raisons exposées au paragraphe précédent.
La disquette mesure 71 mm de diamètre. Elle est logée dans un boitier rigide de 8 x 10 cm qui en facilite la manipulation et le stockage, et améliore sa protection.
Que trouva-t-on sur une disquette ? Pour stocker des informations (transmises entre l'ordinateur et le lecteur sous forme de 'trains" d'octets), et surtout pour pouvoir les retrouver rapidement, la surface magnétique circulaire est divisée en pistes concentriques jusqu'à 44 par face) . Chaque piste est divisée en secteurs et chaque secteur d'une piste peut stocker 256 octets. (Voir schéma en face)
Bien sur, cette division de la disquette n'est pas physique ou visible comme sur un 33 tours. Elle est faite par la programmation des déplacements de la tête d'enregistrement devant le disque qui tourne à grande vitesse ( 300 tours/mn). Ce déplacement est commandé par le Système d'Exploitation du Disque (SIED) ou Disk Operating System (DOS) en anglais.
On peut ainsi, par les instructions du DOS, modifier le nombre de pistes ou de secteurs de la disquette I
PRESENTATION PHYSIQUE DE LA DISQUETTE 3"
La disquette 3" est donc un boitier plastique rigide. Le côté qui porte l'étiquette est celui que l'on tient entre le
pouce et l'index quand on insère la disquette dans la fente du lecteur. De l'autre côté, on trouve diverses encoches
décrites sur le schéma ci-contre.
Les petits trous ronds qui peuvent être obturés par un volet coulissant blanc protègent en écriture (et bien sur en
effacement) la face concernée. On pousse le volet pour dégager le trou et il devient impossible d'effacer la face
correspondante de la disquette ou d'écrire dessus.
Structure d'enregistrement sur le disque
Anatomie de la disquette 3"
La plupart des disquettes 3" est en version double face. Votre lecteur étant simple face, vous pourrez utiliser séparément face A et face B pour doubler la capacité, simplement en retournant la disquette. La face à laquelle on accède est celle du dessus, indiquée par une lettre moulée dans le plastique, et imprimée sur l'étiquette (A ou B). Certains lecteurs existeront par la suite en version double-tête, ce qui permettra d'accéder aux deux faces sans toucher à la disquette. Pour cela, une encoche d'identification oblige à insérer la disquette dans ces lecteurs dans un seul sens, afin que le lecteur puisse identifier les 2 faces.
La fenêtre ovale permet le contact entre la téta et la disque. Quand on regarde la disquette, cette fenêtre est bien sùr obturée par un volet qui ne s'escamote que lorsque la disquette est glissée dans le lecteur. On peut donc manipuler le disque sans risquer de mettre les doigts sur la surface magnétique.
Une fenêtre de positionnement prés du centre permet au lecteur d'avoir un repère physique de la position du disque, par passage du trou de repérage devant la fenêtre.
Stockez vos disquettes dans leur boite, et mettez-les à l'abri de la chaleur ou de l'humidité excessives, et des rayonnements magnétiques : les transfos d'alimentation, les moteurs (y compris celui du lecteur), les moniteurs et les téléviseurs sont des sources de rayonnements magnétiques importants : évitez d'en approcher vos disquettes, sous peine de les effacer ou de les endommager.
D / MISE SOUS TENSION
II suffit d'insérer une disquette dans le lecteur A et d'appuyer sur le bouton RESET derrière le lecteur de disquette. Après quelques secondes, le message de présentation s'affiche, et vous pouvez commencer à travailler.
Première remarque, le BOOT du SEDORIC n'affecte qu'un minimum de mémoire
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Les pages 0,1 et 2 sont vidées (#0000 à #02FF).
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La page 4 entièrement allouée au DOS (#400 à #4FF).
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Une commande NEW est exécutée (le programme effacé est récupérable par la commande OLD, voir cette commande )
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L'écran texte est réinitialisé, c'est à dire les zones de caractères #8500 à #B7FF et #8900 à #BAFF et la zone d'écran (#BB80 à BFDF).
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Le SEDORIC occupe les adresses #0000 à #FFFF,ainsi que la zone #400-#4FF.
Lors d'un RESET et avant de rendre la main au BASIC, le SEDORIC exécute une série d'instructions particulières à la disquette, qui peuvent d'ailleurs être modifiées. II est donc possible d'inclure dans ces instructions d'initialisation un nom de fichier à exécuter, ce qui vous permet de personnaliser l'initialisation de votre disquette. Si aucune instruction d'initialisation n'existe, le DOS saute directement au BASIC.
Il existe deux types de disquettes crées par SEDORIC : les disquettes de type "MASTER", qui contiennent le DOS, et les disquettes de type "SLAVE" qui ne permettent de booter que lorsque le DOS est déjà en mémoire. Si tel n'est pas le cas, le message "" WARNING " Dos Is altered I " est affiché. II est alors conseillé de relancer le système en chargeant alors une disquette MASTER.
E / COMMENT DEMARRER
Vous avez enfin ce lecteur de disquette tant attendu, et vous brulez d'envie de vous en servir, sans pour autant avaler
tout de suite tout le manuel. Parcourez donc ce chapitre, il vous donnera envie d'aller plus loin dans la connaissance
de votre nouvelle acquisition.
Première opération : si vous n'avez qu'un seul lecteur connecté, sautez ce paragraphe . Sinon, il va être nécessaire de signaler au SED qu'un deuxième lecteur est présent . II faut déprotéger la disquette (descendre la languette en haut à gauche), remettre la disquette dans le lecteur, et frapper (pas trop fort ) DTRACK A,,42 suivi de "RETURN" bien entendu (voir page 42 pour plus de détails).
Reprotéger la disquette et relancer ensuite le système en appuyant sur le bouton RESET du lecteur et tout est prêt pour la suite.
Deuxième opération : Il est vivement conseillé de faire une copie de votre disquette MASTER, afin d'éviter un accident fatal. II suffit pour cela de frapper BACKUP (ou BACKUP A TO B si vous avez deux lecteurs) suivi de "RETURN". Pressez une deuxième fois "RETURN", et répondez "Y" à la question "Format target dise (Y/N)" . II suffit ensuite de se conformer aux instructions qui seront affichées. IMPORTANT : La disquette MASTER doit rester protégée par la languette pour éviter de fausses manipulations.
Troisième opération : Prendre contact avec le SED.
Pour connaitre le contenu de la disquette, rien de plus simple : entrer DIR et c'esttout I Si vous possedez un Atmos, appuyer simultanément sur les touches Funct et ] .
Pour charger un programme aparaissant au catalogue, il suffit de taper son nom. Par exemple, pour jouer au jeu MARC.COM , il suffit de frapper MARC suivi comme d'habitude de "RETURN" . Quand vous aurez fini de jouer , appuyer sur le bouton de RESET du lecteur de disquettes.
Pour sauver un program e BASIC, il suffit de frapper SAVEU "ESSAI" et une seconde après, c'est fini. Pur s'assurer que le programme a été bien sauvé, consulter le catalogue par DIR .
Pour rappeler un programme , il suffit de taper son nom. Par exemple, pour récupérer le programme sauvé tout à l'heure, il suffit de frapper ESSAI suivi de "RETURN" . Vous pouvez aussi taper LOAD "ESSAI" , ce qui conduira au même résultat.
^p>
Si vous voulez suprimer un fichier, tout est prévu : l'ordre DEL vous rendra ce service . Frapper DEL "ESSAI" par exemple .
Et puis après tout, ESSAI est un nom trop commun, trop simple, en un mot vulgaire . II faut le changer immédiatement .
L'ordre REN va vous tirer de ce mauvais pas . Taper par exemple REN "ESSAI" TO "VIVEMOI" et le tour est joué !
REM : les crises de narcissisme aigü se soignent très bien (une disquette SEDORIC matin et soir) .
Vous avez une disquette vierge qui ne demande qu'à subir les derniers outrages agissez vite . Frapper INIT suivi de deux fois "RETURN" . Insérez ensuite la disquette à initialiser et répondez au questions (avec bienveillance ! ) . Une disquette MASTER est une disquette qui contient le SED, ce qui est plus pratique . répondez donc Y à la question Master dise (YIN) .
C'est humain, vous n'avez pas encore tout à fait confiance dans ce nouveau jouet (pardon, périphérique) et vous vous dites que faire une copie de votre programme serait plus sécurisant, ce qui est vrai de toutes façons.
Entrez donc COPY "VIVEMOI" (ou COPY "VIVEMOI" TO B si vous avez deux lecteurs ) et suivez les instructions.
Vous aurez probablement remarqué le message "INSERT MASTER DISC IN DRIVE A" . C'est tout simplement que le SED est très long, et que les concepteurs n'ont pas voulu trop empiéter sur la mémoire utilisateur. Certaines commandes font donc appel à des routines qui se trouvent sur une disquette de type "MASTER". Sauf dans le cas du INIT, si vous appelez plusieurs fois de suite la même commande, il ne sera demandé Une disquette MASTER que la toute première fois.
Voilà ! Vous avez fait une brève connaissance avec le MICRODISC associé au SEDORIC . Mais une unité de disquette est bien plus qu'un super magnéto cassette , et nous vous invitons à découvrir le chapitre "GESTION DE FICHIERS". Et puis SEDORIC c'est aussi une soixantaine d'instructions suplémentaires qui enrichissent le BASIC de l'ORIC et pour cela, il est vivement conseillé de parcourir en entier le manuel pour avoir une vision d'ensemble des instructions . Bon courage 1
F / CONTENU DE LA DISQUETTE SEDORIC 1.0
La disquette SEDORIC 1.0 contient plusieurs programmes ou utilitaires.
- Elle contient en tout premier lieu un système d'exploitation, qui n'apparait pas au catalogue, mais qui est bel et bien
présent (la mention 'MASTER" du catalogue rassurera les sceptiques).
M.A.R.C
- Elle contient un jeu, un vrai, avec des missiles et tout et tout nommé M.A.R.C. Pour le charger, il suffit de taper MARC
suivi de "RETURN" , et 2 secondes plus tard, à vous les envahisseurs !
CONVERT
- Vous qui possédiez auparavant un Oric DOS V1.1 ou un TDOS, tout d'abord bienvenue à SEDORIC I Ensuite, vous pourrez
facilement transférer vos programmes sous ces anciens ( et archaïques ) formats en des tous beaux fichiers SEDORIC.
- Il suffit pour cela de charger le programme CONVERT.COM , c'est à dire taper CONVERT suivi de "RETURN".
- CONVERT est un magnifique utilitaire , en ce sens que son usage est d'autant plus simple que CONVERT est puissant. II suffit de se laisser guider par les différents menus. Dans tous les cas, on passe d'un choix à l'autre (un choix étant matérialisé par une barre en vidéo inverse) en appuyant sur la barre d'espace ou en se déplaçant avec les flèches du curseur. Un choix est validé en appuyant sur "RETURN":
- La touche ESC permet à tout instant de revenir au menu , et permet de revenir sous BASIC à partir du menu.
- On peut rappeler le CONVERT simplement par ]] , lorsqu'on est sorti par ESC, sans perdre la configuration courante, sous réserve que le CONVERT lui même ne soit pas altéré . Si tel est le cas, retaper CONVERT.
- Le menu présente 4 options différentes:
SELECTION DES LECTEURS
Cette option vous permettra de sélectioner l'unité de disquette qui contient la disquette à l'ancien format, et celle qui contient la disquette au format SEDORIC. Bien entendu, ces 2 lecteurs peuvent être le même, comme pour un simple COPY.
La touche "RETURN" fait la bascule entre le lecteur source et le lecteur cible, et les lecteurs sont sélectionnés, par les flèches ou la barre d'espace.
INITIALISER LA DISQUETTE CIBLE
Cette option permet d'initialiser une disquette au format SEDORIC, au même titre que l'aurait fait le commande INIT. Les disquettes crées seront du type "slave" .
SELECTION DU DOS
Cette option permet de sélectionner le type de la disquette source, soit le format TDOS, soit le format Oric V1.1 ou XL DOS.
CONVERSION DE FICHIERS
C'est l'option qui permet le transfert effectif des fichiers.
II suffit d'insérer la disquette source dans le lecteur concerné.
Pour charger le catalogue de la disquette source, il faut frapper "DEL". Seuls les 80 premiers fichiers de la disquette sont copiables (1) .
La sélection des fichiers à copier est très simple: il suffit de se déplacer avec les flèches haut et bas sur le fichier concerné et d'appuyer sur la barre d'espace. Une étoile apparait alors à côté du nom du fichier, indiquant que le fichier doit être copié. Lorsque la sélection est finie, il suffit de presser "RETURN" pour lancer la conversion . Si une erreur survient, on a le choix entre frapper une touche quelconque, auquel cas le programme reprendra l'exécution au fichier qui a déclenché l'erreur, ou appuyer sur ESC, le programme continuant alors au fichier suivant .
RESTRICTIONS D'UTILISATION
- Sous TDOS, les fichiers de type .SYS, ARY et MAT ne sont pas copiés.
- SousTDOS, les caractères dans les noms de fichier se revélant invalides pour SEDORIC (-,' etc ...) sont remplacés par des "Z" .
- Les fichiers de données sous XL DOS ou dos V1.1 sont copiés mais non convertis.
ADRESSE
La disquette contient aussi un programme de démonstration de fichier à accès direct. Ce programme se nomme ADRESSE.COM et il suffit de taper ADRESSE suivi de "RETURN" pour lancer le programme . Ce programme est accompagné des fichiers ADRESSEMIN qui contient le masque de saisie et du fichier ADRESSE.DAT qui contient les données des fiches.
ALPHA
Le programme ALPHA.COM (frapper ALPHA et "RETURN") permet de classer par ordre alphabétique le catalogue d'une disquette. II suffit de se conformer aux instructions.'
STAT
Le programme STAT.COM permet de faire des statistiques sur les instructions les plus employées dans un programme BASIC . Pour l'exécuter taper STAT,J suivi de RUN 64000.
SECLIBRE
Le programme SECLIBRE.COM permet de visualiser l'occupation physique de la disquette.
GAMEINIT
La disquette contient enfin le programme GAMEINIT.COM qui permet de créer des disquettes de jeux par exemple, avec un SED réduit ne comprenant que trois instructions: !LOAD , IDIR et chargement direct (nom de fichier précédé du point d'exclamation), le tout avec la syntaxe habituelle.
L'intérêt est que le SED n'occuppe environ quel 7 secteurs contre une centaine pour une disquette MASTER normale.
La syntaxe de la commande GAMEINIT est très proche de la syntaxe de la commande INIT, à ceci près qu'il faut placer le caractère après la commande.
Par exemple: GAMEINIT:A,19,44.
VERSION
Ce petit programme permet de connaitre la version de votre SEDORIC 1.0, sous la forme SEDORIC 1.Oxx . En effet SEDORIC est constament amélioré (tout en assurant bien entendu la totale compatibilité avec les versions précédentes) .
ROMATMOS ET ROMORIC
Ces deux routines chargent la ROM V1.1 ou V1.0 en RAM overlay, permetant ainsi de disposer de la ROM Atmos sur un Oric-1, ou de la ROM Oric-1 sur un ATMOS. Bien entendu, il est alors impossible de se servir du DOS.
G / SEDORIC : UNE TOUCHE DE GENIE 1
Le SEDORIC apporte une caractéristique importante à l'ORIC ATMOS (Atmos seulement) : l'utilisateur dispose de 2 claviers supplémentaires accessible en appuyant sur FUNCT et la touche ou FUNCT + SHIFT et la touche. L'assignation des ces touches peut être changée à tout moment grâce aux commandes KEYUSE et KEYDEF (voir le détail de ces instrucions à la rubrique correspondante). Par exemple, taper FUNCT et \ provoque l'exécution de l'instruction LIST. Quelle facilité d'emploi !
De même, vous pouvez obtenir que vos lignes de programme soient automatiquement numérotées en tapant FUNCT et RETURN , ce qui provoque la numérotation automatique des lignes de programme .
Enfin, appuyer sur FUNCT et DEL produit le même résultat que DEL, à ceci près que le caractère n'est pas effacé de l'écran, mais seulement de la mémoire-tampon du clavier, ce qui est bien pratique lorsque l'on s'aperçoit d"une erreur quelques caractères avant : en mode éditeur d'écran, cela permet de revenir en arrière sans effacer les caractères corrects de l'écran; on peut ainsi les valider à nouveau avec CTRL A et on n'a pas à les retaper.
Un nouveau caractère de contrôle a été ajouté : CTRL P permet de stopper le clignotement du curseur. C'est une bascule ON/OFF : CTRL P et le curseur clignote, CTRL P et il ne clignote plus. On peut y accéder par programme (Bit 2 de la variable système # 26A ou PRINT CHR$(16);).
Quelques aménagements permettent d'éviter les "plantages" inopportuns
- Il est possible d'appuyer sur le bouton RESET de l'ORIC à tout moment, même pendant les accès disque. II vaut mieux toutefois éviter les RESET pendant les écritures.
- Le SEDORIC gère le Break (interruption sort) et affiche " BREAK ON BYTE #xxxx " si un Break est détecté. Cela évite 99% des "plantages". Si vous n'êtes pas convaincu, essayez donc sans le DOS de taper CALL # 500 ...!
- La touche ESC permet de sortir prématurément des commandes interactives telles que DIR, DEL, INIT etc...
Le SEDORIC occupe environ 20 kOctets de mémoire en tout. Pour ne pas empiéter sur le zone utilisateur, certaines fonctions secondaires ou particulières ont été séparées du bloc des commandes principales du SEDORIC : Une zone dans le DOS, appelée SWAP, accueille ces commandes au fur et à mesure de leur utilisation. Ces commandes sont regroupées en blocs de 1 kOctets. Le numéro du bloc est donné dans la table alphabetique des commandes en annexe 1. Lors du premier appel de la commande , il sera demandé d'insérer une disquette MASTER pour charger le bloc correspondant.
La commande sera alors accessible comme toutes les autres jusqu'au prochain BOOT, ou jusqu'à l'appel d'une commande figurant dans un autre bloc, ou l'appel de la commande WINDOW.
H / CONVENTIONS ET NOTATIONS
Afin d'en faciliter la lecture , les mêmes notations seront employées tout au long de ce manuel.
Toutes les commandes auront donc la même présentation NOM DE COMMANDE en gros caractères gras et SYNTAXE GENERALE en gros caractères maigres.
- Les descriptifs de la commande et les remarques sont précédés de tirets.
Les options facultatives sont entre parenthèses. Si elles ne sont pas précisées, elles prennent des valeurs par défaut, explicitées dans le texte.
Tous les exemples sont en ITALIQUES.
Quelques abréviations seront fréquemment utilisées
- Lecteur : Le paramètre est un nom de lecteur ( A ou B ou C ou D) . S'il n'y a rien, c'est le lecteur courant qui est considéré.
Exemple : INIT et IMITA sont équivalents si A est le lecteur courant.
- NF ou Nom de Fichier : Cette abréviation désigne un nom de fichier quelconque mais valable (voir le paragraphe NOM DE FICHIER). II ne peut être omis, ni ne comporter de "JOKER"
Exemple: LOAD NF
- NFA ou Nom de Fichier Ambigu : Cette abréviation désigne un nom de fichier (voir ce paragraphe), mais qui peut comporter un ou plusieurs JOKERS. II peut donc être omis, ou réduit à un simple nom de lecteur.
Exemple : DIR NFA
- EN ou Expression Numérique: Cette abréviation désigne une expression numérique, avec les restrictions que celà implique (voir ce chapitre dans le Manuel de l'ORIC).
Exemple : PRINT EN
- EA ou Expression Alphanumérique: Cette abréviation désigne une expression alphanumérique, avec les restrictions que celà implique (voir ce chapitre dans le Manuel de l'ORIC).
Exemple: SEARCH EA
- VN ou Variable Numérique : Ceci représente un nom de variable numérique, à ne pas confondre avec une expression numérique.
Exemple : INPUT (EA;) VN
- VA ou Variable alphanumerique : même remarque que pour les variables numériques.
Exemple : TKEN VA
- NL ou Numéro Logique : c'est le numéro du tampon utilisé dans la gestion des fichiers
Exemple: REWIND NL
- NC ou Nom de Champ : utilisé en gestion de fichiers.
Exemple : LSET NC&60EA
- La touche ESC permet de sortir prématurément de toutes les situations où une réponse est attendue de l'utilisateur.
I / ENVIRONNEMENT GENERAL
Tout a été conçu dans le SEDORIC pour faciliter la tâche de l'utilisateur : les syntaxes sont simples et efficaces, les touches de fonctions donnent accès directement aux commandes, et , surtout, le SEDORIC est un DOS extrêmement rapide : il est impossible de faire plus rapide avec un disque 3". II faut signaler que les sauvegardes sont aussi rapides que les chargements.
Une telle optimisation a conduit à s'éloigner du format du DOS V1.1 ou du TDOS. Les disquettes créées avec ces DOS ne sont donc pas directement exploitables par le SEDORIC. Le fichier CONVERTcontenu sur la disquette permet de convertir tous vos anciens fichiers au nouveau format. Les commandes SEEK et CHANGE faciliteront quelques adaptations syntaxiques.
La syntaxe adoptée est la plus proche des ordres standard du BASIC : par exemple, les ordres SAVE et CSAVE ont la même syntaxe. Les évaluations de variables sont effectuées par les routines du BASIC, et ne sont donc limitées que par les contraintes du BASIC lui-même.
Tous les mots-clés du SEDORIC peuvent être frappés aussi bien en MAJUSCULES qu'en minuscules, y compris les noms de fichiers, ce qui rend inutile l'emploi de minuscules dans les noms de fichiers.
ATTENTION : les mots-clés du BASIC doivent toujours être frappés en majuscules.
MERGE NF (,L)
- Mélange le programme BASIC en mémoire et le programme BASIC précisé.
- Si le résultat donne un programme trop long, le message "OUT OF MEMORY" est généré.
- Les variables sont conservées, avec les limites habituelles à ce genre d'opération, c'est à dire que toutes les fonctions utilisateurs, définies par DEF FN seront perdues.
- En mode programme, il faut faire en sorte qu'aucune ligne ne sera insérée avant la ligne où se trouve la commande MERGE sous peine de déclencher des messages d'erreur "SYNTAX ERROR" et autres.
- Si des lignes existent à la fois dans le programme en mémoire et dans le programme à "marger", celles résidant en mémoire sont conservées, mais le message "LINES ALREADY EXISTS" est affiché.
- Au fur et à mesure de l'insertion, le numéro des lignes du programme à insérer sont affichés. Ceci ralentit notablement l'exécution, et peut être évité en précisant l'option L
Exemple: MERGE "TOTO" MERGE "ESSAI ,L
DELETE (EN 1) - (EN 2)
- Détruit un bloc de lignes sans perdre les variables.
- La syntaxe de DELETE est la même que celle de LIST à ceci prés que le "-" est obligatoire (sinon DELETE siginifierait NEW ! ) .
- Précautions d'emploi : en mode programme, il ne faut pas que DELETE se trouve dans ou après le bloc détruit. De même, les fonctions définies par un DEF FN se trouvant dans un bloc détruit seront perdues.
Exemple : DELETE 100 - 100 élimine la ligne 100
DELETE -1000 élimine toutes les lignes jusqu'à la ligne 1000. DELETE 234 - 987 détruit les lignes 234 à 987
SEEK (EA) (,S) (,M)
- SEEK EA recherche dans le programme BASIC en mémoire la chaine EA, et affiche toutes les lignes où la chaine est trouvée. Le listing peut être interrompu comme un vrai listing (ESPACE,Ctrl C...) .
- La chaine ne doit pas comporter le code ASCII NUL (0). Dans le cas contraire, un message"INVALID STRING ERROR" sera généré.
- Pour chercher des instructions BASIC, il est necéssaire de les coder grâce à TKEN.
- La chaine, un peu comme les noms de fichier, peut comporter des caractères 'jokers'. Le caractère joker utilisé ici est le "£" (le '?' n'a pas été retenu car il est d'usage trop courant dans le BASIC) .
- La chaine à chercher peut comporter au maximum 78 caractères.
-Si l'option S est précisée, les ligne ne sont pas affichées, mais seulement un message indiquant le nombre de fois où la chaine a été trouvée. De plus la variable SK contient aussi ce nombre.
- Si les options S et M sont précisées, aucun message ni aucune ligne ne sera affichée, seule la variable SK contiendra le nombre d'occurences de la chaine.
- SEEK ("tout court") permet de lister une ligne à la fois. S'utilise après un SEEK EA. Chaque fois que l'on tape SEEK, la ligne où se situe la prochaine occurence est affichée. La chaine à chercher, précisée lors du SEEK EA, reste en mémoire jusqu'à un SEEK avec une autre chaine ou un RESET.
- Si un SEEK est effectué alors qu'il n'y a aucune chaine à chercher, le message 'SYNTAX ERROR' sera généré.
Exemple: Soit le programme suivant
10 REM TEST SEEK SEDORIC 0.0 20 PRINT "BONJOUR SEDORIC 1.01" 30 END
SEEK "BONJOUR" listera la ligne 20 SEEK "BONJOUR",S affichera 1 Found(s) SEEK "ORIC £.O" listera les lignes 10 et 20
ensuite,SEEK listera la ligne 10, et un 2ème SEEK listera la ligne 20
SEEK CHR$(#BA) listera la ligne 20 car #BA est le code (ou token ) de la commande BASIC PRINT
CHANGE EA1 TO EA2
- Remplace toutes les occurences de la chaine EA1 par la chaine EA2 dans le texte BASIC.
- La chaine suit les mêmes conventions que pour SEEK (pas de caractère nul, longueur, joker) .
- Des caractères jokers peuvent être précisés dans la chaine source. S'ils sont précisés dans la chaine cible, ils seront laissés tels quels.
- L'usage du caractère 'joker' permet de trouver plusieurs chaines à remplacer par une seule, mais ne permet pas de faire un changement "sélectif" comme le fait la commande REN pour les noms de fichier.
- Si le programme BASIC devient trop long pour tenir en mémoire, le message 'OUT OF MEMORY ERROR' est généré et le remplacement est arrêté.
- De même, si une ligne devient trop longue , le remplacement est arrêté et le message "LINE ; xxxx
?STRING TOO LONG ERROR" est affiché.
Exemple: CHANGE "ORIC" TO "EUREKA"
CHANGE CHR$(#BA) TO CHR$(#8F)
change tous les PRINT en LPRINT car #BA est le code de PRINT et #8F est le code de LPRINT.
Dans le petit programme de l'exemple du SEEK, la commande: CHANGE "ORIC £.0" TO "BOF 1" donnera les lignes:
10 REM TEST SEEK SEDBOF ! 20 PRINT "BONJOUR SEDBOF !"
NUM (EN1) (,EN2)
- Spécifie les parametres de la numérotation automatique. Le premier parametre est l'origine (numéro de la première ligne) et le deuxième le pas de la numérotation. Chaque fois que l'on appuie sur FUNCT et RETURN, le numéro courant est affiché et le nouveau est calculé .
- Les valeurs prises par défaut sont les mêmes que pour RENOM, c'est à dire 100 pour l'origine et 10 pour le pas. Elles sont modifiables par DNUM .
Exemple
NUM 1000 donne une numérotation automatique de 10 en 10 à partir de la ligne 1000
NUM ,5 donne une numérotation automatique de 5 en 5 à partir de la ligne 100.
NUM 3300 , 20 donne une numérotation automatique de 20 en 20 commençant à partir de la ligne 3300.
NUM END
NUM END
- Si NUM END est précisé, le DOS recherche automatiquement la dernière ligne du programme, et démarre la numérotation à la ligne suivante (Dernière + argument par défaut).
Exemple : NUM END
Le DOS étant en RAM Overlay, il peut être intéresant de savoir comment passer de la ROM à la RAM et vice-versa.
Il suffit, lorsqu'on est sur la ROM, de faire JSR #04F2 pour passer sur la RAM, un autre JSR #04F2 reviendra sur la ROM.
Il faut utiliser ce sous-programme sous peine de "plantage" lors du retour au BASIC.
Notons que l'appel de cette routine n'affecte aucun registre.
Il a été prévu de rallonger à l'infini le vocabulaire du DOS, et ce sans le point d'exclamation.
Vous devrez simplement faire un programme qui doit reconnaitre votre ou vos mots-clés.
Si aucun n'est reconnu, il faut sortir par RTS, TXTPTR (#E9-#EA) étant inchangé, et sinon par
PLA : CLC : ADC #$03 :PHA, TXT PTR pointant un séparateur ( " : " ou " 0 " ).
Pour activer votre sous-programme, il suffit de modifier le vecteur #4E9.
ADRESSE | NOM | SIGNIFICATION |
#04E9 | DETE2C | Vecteur utilisateur (rajout mots clés) |
#04EC | EXERAM | Exécution d'une routine sur la RAM, ou sur la ROM si on est sur la RAM EXEVEC+1 contient l'adresse de la routine |
#04EF | EXEVEC | vecteur exécution, voir EXERAM |
#04F2 | RAMROM | bascule RAM/ROM aucun registre n'est affecté |
#04F5 | IRQRAM | exécution des IRQ sous la RAM #04F8 NMIRAM exécution des NMI sur la RAM |
#FFC4 | XRWTS | accès à la routine de gestion des lecteurs X contient la commande (conformément à la notice du 1793). En sortie, Z-1 si pas d'erreur,Z=O sinon. V=1 si la disquette est protégée en écriture. DRIVE, PISTE, SECTEUR et RWBUF doivent être à jour. |
#FFC1 | XPMAP | prend le secteur de bit map, vérifie le format |
#FFBE | XPBUF1 | Charge dans le BUFFER1 le secteur dont la piste est contenue dans A et le secteur dans Y. |
#FFB8 | XPRSEC | Lis un secteur, conformément aux variables systèmes DRIVE, PISTE, SECTEUR, RWBUF |
#FFB5 | XSMAP | sauve le secteur de bitmap sur la disquette |
#FFB2 | XSCAT | sauve le secteur de catalogue contenu dans BUF3, selon POSNMPetPOSNMS. |
#FFAF | XSBUF1 | Sauve BUF1 à la piste A et le secteur Y. |
#FFAC | XSAY | sauve le secteur indiqué par RWBUF à la piste A et le secteur Y. |
#FFA9 | XSVSEC | Ecrit un secteur, selon DRIVE, PISTE, SECTEUR, RWBUF |
#FFA6 | XVBUF1 | Remplit de 0 le BUFFER1 |
#FFA3 | XBUCA | Transfère le nom de fichier contenu dans BUFNOM dans le secteur de catalogue contenu dans BUF3, à la position POSNMX. |
#FF9D | XCABU | Tranfère dans BUFNOM le nom de fichier contenu dans le secteur de catalogue placé dans BUF3 , à la position POSNMX. |
#FF97 | XTVNM | Cherche sur le lecteur courant le nom contenu dans BUFNOM. A la sortie, POSNMX, POSNMP et POSNMS contiennent la position du nom dans le catalogue, et Z=1 si le fichier n'est pas trouvé |
#FF8E | XTRVCA | Cherche une place libre dans le catalogue. A la sortie, POSNMX, POSNMP et POSNMS indiquent la position de la place réservée |
#FF88 | XLIBSE | Cherche un secteur libre sur le bitmap courant. en sortie, A contient la piste et Y le numéro de secteur du secteur réservé . |
#FF85 | XDETSE | Libére le secteur Y, piste A sur le bitmap courant. |
#FF82 | XCREAY | Crée une table piste secteur de AY secteurs. |
#FF7F | XNOMDE | Détruit le fichier indexé par POSNMX, dont le secteur de catalogue est dans BUF3 . (en fait, tout est positionné comme après un XTVCAT. |
#FF7C | XSAVEB | Sauve le fichier de nom contenu dans BUFNOM, selon VSALOO, VSAL01, DESALO, FISALO, EXSALO. |
#FF79 | XDEFLO | Positionne les valeurs par défaut pour XLOADA |
#FF76 | XDEFSA | Positionne les valeurs par défaut pour XSAVEB (en fait, positionne pour sauver le programme BASIC) . |
#FF73 | XLOADA | Charge le programme dont le nom est dans BUFNOM, selon VSALOO, VSAL01, DESALO. |
#FF6D | XROM | Permet d'exécuter à partir de la RAM une routine ROM . Le JSR XROM doit être suivi dans l'ordre de l'adresse de la routine pour la V1.0, puis de l'adresse pour la V1.1 . |
#FF6A | XAFSTR | Affiche la chaine terminée par un 0 et dont l'adresse est donnée par AY. |
#FF67 | XAFHEX | Affiche en hexadécimal le contenu de A. |
#FF64 | XAFCAR | Affiche comme un caravtère ASCII le contenu de A. |
#FF52 | XAFSC | Affiche le X ème message terminé par un caractère codé "+128" . EXTMS doit contenir l'adresse -1 du premier message. |
#FF4F | XNFA | Saisit dans le texte indexé par TXTPTR un nom de fichier ambigu. Le résultat est dans BUFNOM . |
#FF4C | XNF | Idem mais pour un nom de fichier non ambigu . |
#FF49 | XCRGOT | Saisit dans A le caractère courant (identique à CHRGOT du BASIC, mais en plus convertit automatiquement les minuscules. |
#FF46 | XCRGET | Saisit dans A le caractère suivant. |
#FF43 | XLINPU | Appel à la routine LINPUT. TRAVO contient la longueur de la chaine à saisir, au retour TRAV2 contient le mode de sortie et #DO-#D1 donne l'adresse de début de la chaine . |